jueves, julio 31, 2014

Homenaje a Ignacio de Loyola, promotor del Universalismo 3/3


 

 

Hoy se cumplen cuatrocientos cuatro años de la proclamación de Ignacio de Loyola como patrono de Azpeitia, pequeña ciudad de la provincia vasco-española de Guipúzcua, donde Ignacio había nacido el 24 de diciembre de 1491.
Esta proclamación tuvo lugar un 31 de julio de 1610, doce años antes de que Ignacio fuera canonizado por el papa Gregoire XV, el 12 de marzo de 1622, al mismo tiempo que Francisco Javier y Teresa de Ávila.
Tal día como hoy se cumplen también cuatrocientos cincuenta y ocho años de la muerte de Ignacio en Roma, el 31 de julio de 1556.
A Ignacio de Loyola le debemos en gran medida la toma de conciencia de que este planeta Tierra es nuestra casa común, y de que esta casa debemos compartirla solidariamente todos los humanos.
Renunciando a su vida de cortesano y soldado, bien cumplidos los treinta años, dedicó el resto de su existencia, primero a forjarse espiritual e intelectualmente como apóstol, y luego a fundar y dirigir una pléyade de compañeros apostólicos, particularmente identificados con la misión universalista de Jesús, a los que lanzó a través de todo el mundo para predicar con su palabra y con su ejemplo que “ya no hay judío ni griego ni bárbaro, sino que todos somos uno”.
Fue mérito suyo el privilegiar, en la estrategia apostólica del universalismo jesuita, los caminos recién descubiertos del Nuevo Mundo y los menos conocidos de Asia y África. También lo fue su atención a la educación de los jóvenes y a la reinserción socio-económica, cultural y religiosa de las víctimas de la marginación y de la pobreza.
Imagen: Detalle iconográfico de “Los milagros de San Ignacio”, por el artista flamenco Pedro-Pablo Rubens. Técnica: óleo sobre lienzo. Dimensiones: 400 x 275 cm. Lugar: Amberes: Pintado para el altar mayor de los jesuitas
en Amberes. Fecha: 1619-1620. Localización actual: Museo de Historia del Arte, Viena.
Fuente: Salvador García Bardón, Ignacio de Loyola, promotor del universalismo, 31/07/2010.
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23:38 Écrit par SaGa Bardon dans Actualidad

Hommage à Ignace de Loyola, promoteur de l’universalisme 3/3



 
Il y a 404 ans aujourd’hui, Ignace de Loyola était proclamé patron d’Azpeitia, petite ville de la province basque espagnole de Guipuzcoa, où il était né le 24 décembre 1491.
Cette proclamation eut lieu le 31 juillet 1610, douze ans avant qu’Ignace fût canonisé par le pape Grégoire XV, le 12 mars 1622, en même temps que François Xavier et Thérèse d’Avila.
Aujourd’hui aussi, cela fait 458 ans qu’Ignace est mort à Rome, le 31 juillet 1556.
C’est à Ignace de Loyola que nous devons en grande partie la prise de conscience du fait que cette planète Terre est notre maison commune, et que nous tous, les êtres humains, nous devons la partager solidairement.
Agé de plus de trente ans, il renonça à sa vie de courtisan et de soldat et consacra le reste de son existence tout d’abord à se forger spirituellement et intellectuellement comme apôtre, et ensuite à fonder et diriger une pléiade de compagnons apostoliques, particulièrement identifiés à la mission universaliste de Jésus, qu’il lança à travers le monde pour prêcher par la parole et par l’exemple que “il n’y a plus ni juif, ni grec, ni barbare, mais nous sommes tous un”.
Relevons parmi ses mérites le fait d’avoir privilégié, dans la stratégie apostolique de l’universalisme jésuite, les chemins récemment découverts du Nouveau Monde et ceux, moins connus, d’Asie et d’Afrique. Ainsi que l’attention qu’il porta à l’éducation des jeunes et à la réinsertion socio-économique, culturelle et religieuse des victimes de la marginalisation et de la pauvreté.
Image : Détail iconographique de “Les miracles de Saint Ignace”, par l’artiste flamand Pierre-Paul Rubens. Technique : huile sur toile. Dimensions : 400 x 275 cm. Lieu : Anvers : peint pour le grand autel des jésuites à Anvers. Date : 1619-1620. Localisation actuelle : Musée d’Histoire de l’Art, Vienne.
Source : Salvador García Bardón, Ignacio de Loyola, promotor del universalismo, 31/07/2010.
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viernes, julio 18, 2014

Je souscris à la juste évaluation de Jean-Claude Juncker


 17.07.14 | 19:55.

Même pour “s’abstenir” comme l’ont fait les socialistes français, ou pour dire “non” comme l’ont fait les socialistes espagnols, il faut être conscients de ce qu’on vote, quand on promet une coalition parlementaire, et de ce qu’on juge, quand on met en valeur ou qu’on dénigre une personne.
Le secrétaire général élu du PSOE, Pedro Sanchez, a commis une grave erreur euro-stratégique en appuyant l’opposition des 14 eurodéputés du PSOE vis-à-vis de Juncker, et une grave injustice politique en lui attribuant la paternité des politiques d’austérité excessive qui résultent socio-économicides.
Un message de Pedro Sanchez sur les réseaux sociaux, antérieur au vote au Parlement européen, appuyait l’opposition des 14 eurodéputés du PSOE vis-à-vis de Juncker et lui attribuait injustement la paternité des politiques d’austérité excessive de l’UE qui résultent socio-économicides.
“Je confirme que les 14 euro-députés du PSOE voteront NON à Juncker. Nous n’appuierons pas le père des politiques austéricides”.
En tant que linguiste, je dois signaler que, en utilisant le mot “austéricides” à la place du mot “socio-économicides”, Pedro Sanchez exprime le contraire de ce qu’il prétend condamner, pour s’opposer à la candidature de Jean-Claude Juncker.
Tout observateur attentif et impartial de ces politiques peu attentives à leurs conséquences socio-économiques sait que la véritable paternité ou maternité des politiques d’austérité excessive n’est ni de Jean-Claude Juncker ni d’Angela Merkel, mais bien de la Bundesbank et de l’opinion populiste allemande la plus euro-hégémonique, inspirée par l’idéologie néo-libérale de cette banque, qui est loin d’être celle de tous les Allemands.
Je souscris avec Xavier Vidal-Folch à la juste évaluation de Juncker
1. Juncker figure dans l’aile la plus progressiste de la démocratie chrétienne : les socio-chrétiens.
2. Juncker était parmi les plus ouverts des rédacteurs de Maestricht (proposition du “Traité non-paper” de 1991).
3. Juncker a été président de gouvernements successifs de coalition, incluant des socialistes.
4. Juncker a été l’homme-passerelle entre la DC allemande de Helmut Kohl et la France du gaulliste Chirac et du socialiste Jospin.
5. Juncker a aussi été l’amphitryon de la “Stratégie européenne de l’emploi/Processus de Luxembourg”, en 1997.
6. Juncker a été le porte-drapeau des euro-bons en 2010/2011.
7. Juncker a aussi été celui qui réussit en diverses occasions à tempérer la rigidité allemande dans l’application des recettes d’austérité.
1) Xavier Vidal-Folch (Barcelone, 1952) a été directeur adjoint de «El País» et directeur de l’édition de Catalogne deux fois non consécutives. Précédemment, il avait été à la tête du département d’économie du journal. En 2008, il a été élu président du «World Editors Forum» et en 2011, du «Global Editors Network ». Il a également travaillé comme correspondant à Bruxelles entre 1994 et 2000. Vidal-Folch a reçu deux fois le prix de l’information économique « Ville de Barcelone » et le « Xardà » de Dexeus.
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Source : Xavier Vidal-Folch (1), “El día en que el PSOE se traicionó” (“Le jour où le PSOE se trahit”),
Rompe pactos, hurta el mandato electoral, ignora un plan keynesiano. Muy mal (Il casse des alliances, il détourne le mandat électoral, il ne tient pas compte d’un plan keynésien. Très mauvais),
dans ANÁLISIS, El País, 15 JUL 2014 – 21:52
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miércoles, julio 16, 2014

“Ayer fue un día grande de verdad en la construcción europea”


Escrito por: Salvador García Bardón el 16 Jul 2014 - URL Permanente

Rafael Arenas García, Catedrático de derecho internacional privado de la Universidad Autónoma de Barcelona, comenta en Facebook con nuestros amigos comunes la noticia histórica de que “tenemos un Presidente de la Comisión designado por las urnas”, subrayando su importancia para el futuro democrático de la Unión Europea y “pidiendo más”, para que Europa sea verdaderamente Europa.
Ayer fue un día grande de verdad en la construcción europea. Por primera vez tenemos un Presidente de la Comisión designado por las urnas. La elecciones europeas del pasado mayo han culminado ahora con la designación como Presidente de la Comisión del candidato que entonces tuvo mayor número de votos.
Por pedir más: algo que es perfectamente posible: que Juncker sea designado también Presidente del Consejo Europeo. Si reuniera en sí la condición de Presidente de la Comisión y Presidente del Consejo Europeo, Juncker sería lo más parecido que podríamos tener a un Presidente Europeo
A medio plazo: que el Parlamento europeo tuviera capacidad para establecer impuestos que garantizaran su presupuesto sin que éste dependiera de los Estados.
No haría falta más para que Europa fuera verdaderamente Europa. Estamos muy cerca aunque no nos demos cuenta.
Señores Estados, hagan posible el sueño europeo.
Señores políticos europeos: trabajen para hacer estas propuestas posibles.
Señores del PSOE, lean un poco, piensen un poco y dejen de hacer el ridículo.
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Parliament elects Jean-Claude Juncker as Commission President
PLENARY SESSION Press release – Institutions − 15-07-2014 – 14:05
With 422 votes in favour, the European Parliament elected Jean-Claude Juncker in a secret ballot on 15 July as President of the new European Commission to take office on 1 November 2014 for a five year term. The minimum number of votes required was 376.
For the first time in the history of the EU, the European Parliament elected – and not merely approved – the President of the European Commission following a proposal by the European Council, according to the rules laid down in the Lisbon Treaty (December 2009).
422 members voted in favour, 250 against, 47 abstained. The total number of votes cast was 729, 10 of which were non valid.
◊ Candidate of European citizens and governments ◊
As the lead candidate of the party which won most seats in the European elections of 22-25 May, the former Prime Minister of Luxembourg had been nominated as candidate to the EU top position by the European Council on 27 June in a formal vote, with 26 heads of state or government voting in favour of Jean-Claude Juncker (EPP) and two voting against.
◊ Next steps ◊
The Commission President-elect will now send official letters to the member states’ leaders inviting them to propose their candidate members of the Commission.
Procedure: Election of Commission president
REF. : 20140714IPR52341
Updated: ( 16-07-2014 – 12:11)
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Sonia S. Infante: Lo del PSOE y gran parte de los políticos españoles, ridículo: solo votaron a favor PP, Unió, C’s y algunos de UPYD
Angel Espiniella: el artículo de Vidal-Foch es rotundo:http://politica.elpais.com/…/act…/1405453923_951905.html Queda clara, pués, mi opinión. Ahora bien, dejadme echar algo de picante: ¿por qué ha de apoyarse al candidato con mayor número de votos? los partidos que votaron en contra, o se abstuvieron, representaban a un electorado que no quería a Juncker y en campaña lo dijeron claramente. El problema fue previo: ¿por qué pactar el reparto de cargos como siempre? Eso aleja a los eurodiputados de la ciudadanía, no los acerca.
Rafael Arenas García: Cierto que los socialistas podrían no haber votado a Juncker. En una situación “normal” sería lo lógico; pero en esta circunstancia excepcional la batalla era entre los que quieren una Europa más integrada y democrática y “los otros”. Aparte de esto, sin embargo, lo más grave es que existía un pacto de la mayoría de los socialistas europeos de los que se descolgaron los españoles. En Europa se trata de crear bloques ideológicos, no nacionales; y que sean los socialistas españoles quienes digan que votan lo que votan en Estrasburgo “por razones de política nacional” (es lo que leo en El País) me parece un error bastante grande.
Luis Antonio Fernández Villazón: Pues qué queréis que os diga. A mí me parece que estos pactos PP Europeo y PSE lo único que hacen es reforzar las posiciones de esos anti sistema que Vidal-Folch llama “irrelevantes” (ya quisiéramos, sumar diputados europeos de extrema izquierda-derecha mete miedo). Convendría que los líderes europeos se dieran cuenta, porque si no las próximas elecciones europeas van a ser un cataclismo y entonces el menor de nuestros problemas será el supuesto pulso Consejo Europeo-Parlamento. Y digo supuesto porque a mí toda esta historia de los enemigos de Junker y de Europa me ha parecido muy artificial.
Lídia Santos Arnau: Estic contra eles polítiques que representa i que va impulsar també amb fervor Junker. Si ha insinuat ara algunes mesures de tall keynesyà benvingudes siguin, que les faci, suposo que ho proposa perquè son necessàries i no per sumar determinats vots. En la seva campanya electoral el monetarisme i els aspectes financers eren els predominants. No votar-lo és tan respectuós amb el nou model d’elecció com fer-ho, no debades el nou model d’elecció del President de la Comissió és de tall parlamentari i s’honora precisament aquest model sent conseqüent amb l’ opció de les polítiques que es defensen i de les persones que les representen i no amb pures adhesions. El poti poti de “no hi han dretes i esquerres”, tan postmodern, ens ha dut al punt catastròfic en el que ens trobem i a que la batalla d’allò que anomenàvem justament lluita de classes l’hagin guanyat les drets i les elits econòmiques. Era del que es tractava quan ens anaven convencent de que això de Dreta/Esquerra estava més que superat. I aquesta batalla encara no ha acabat.
Rafael Arenas García: Lo que pensaba que estaba superado era la traslación al Parlamento Europeo de las políticas nacionales. Parece ser que la justificación de que los socialistas españoles no votasen con la mayoría de los socialistas europeos han sido razones de política nacional (así lo recoge “El País »). Reproducir los grupos nacionales en el Parlamento Europeo no favorece la construcción europea
Luis Antonio Fernández Villazón: Bueno, eso es lo que ha dicho Jáuregui para justificarse ante sus colegas de grupo. Un eufemismo para decir que la sufrida militancia socialista (no sólo en España) está al límite de la insumisión con la cúpula. Si no se arregla pronto, no habrá PSE con el que pactar en próximas elecciones
Lídia Santos Arnau: Podria parafrasear la famosa frase de “Lo que el Viento se llevó” respecto de El Pais en estos momentos y teniendo en cuenta cómo se posiciona en según qué temas y los intereses que últimamente defiende, … en cualquier caso no creo que esté aún dotado del don de la infalibilidad. Es su opinión. ¿ Podemos entender que no es buena para Europa la gran coalición que quizás, y sólo quizás, responde también a una política nacional, en este caso la alemana? Podemos pensar que es otra la política necesaria para Europa o sólo son democráticamente admisibles las adhesiones y si son inquebrantables, mejor ?
Angel Espiniella: Qué debate tan interesante, la verdad. Comparto con Rafael la visión transeuropea que debe tener el PSE y con Vidal-Foch que el sucesor de Juncker lo hizo todavía peor, socialista o no, holandés o no. Ahora bien, Lidia y Luis tienen a mi juicio razón en una cosa: yo no creo en “democracias a la búlgara” ni en grandes alianzas nacidas en pasillos y no en urnas. Quizá lo que había que plantear al resto del PSE es si, al hacer campaña, se comprometieron a no apoyar a Juncker. Porque en tal caso, el PSOE o los socialistas franceses habrán roto el pacto con el PPE, vale, lo acepto, pero los restantes miembros del PSE habrán roto uno peor: el pacto con sus votantes!!!!!
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